In Vertommen 's collection
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Mine de plomb, encre de chine, gouache blanche.
Dimension (du dessin) : 182 x 82 mm.
Signé.
L’histoire de la renaissance des aventures du journaliste Guy Lefranc est assez particulière et mérite quelques explications.
Guy Lefranc est né du crayon de Jacques Martin au début des années 50 dans « La Grande Menace ».
Trois ans après la parution de ce premier opus, Jacques Martin mettait en chantier l’aventure qui devait prendre la suite de cet album.
Mais engagé par Hergé pour le seconder dans son travail, Jacques Martin avait entamé une histoire qu’il abandonna assez rapidement pour se consacrer ensuite à un autre projet qui deviendra « L’Ouragan de Feu ».
L’histoire inachevée fut oubliée dans un tiroir pendant un demi-siècle … Jusqu’à la redécouverte, courant 2000, d’une planche complète encrée (la planche 2) et de quelques planches crayonnées (les planches 4, 5 et 6) de cette ébauche d’album abandonné.
C’est ceux-ci qui ont relancé l’aventure.
Ce dessin est celui qui a été présenté à Frédérique et Bruno Martin (enfants et ayant droit de Jacques Martin) et aux éditions Casterman.
Ces derniers devant prendre une décision au sujet du dessinateur qui assumerait le dessin de cette aventure abandonnée.
Le défi étant à inventer et construire une histoire qui se serait déroulée entre « La Grande Menace » et « L’Ouragan de Feu ».
Avec toutes les obligations (dessins, époque, ambiance, forme des planches, …) pour se rapprocher le plus possible du tome 1.
C’est donc en 2006 qu’André Taymans termine, pour les éditions Casterman, cette aventure inachevée du journaliste Guy Lefranc, datant de 1955.
La sortie de cet album, intitulé Le Maître de l’Atome, a coïncidé avec les soixante ans de carrière de son créateur, Jacques Martin.
Il faut également reconnaître la part très active, qu’ont pris dans ce travail, trois collaborateurs.
Principalement Erwin Drèze pour les décors et sa participation à certains dessins. Thierry Cayman pour son aide aux décors et Bruno Wesel qui, par son coloriage de tout l’album, permet de donner une certaine unité aux différents apports des quatre dessinateurs ayant travaillé sur un scénario de Michel Jacquemart.
Dimension (du dessin) : 182 x 82 mm.
Signé.
L’histoire de la renaissance des aventures du journaliste Guy Lefranc est assez particulière et mérite quelques explications.
Guy Lefranc est né du crayon de Jacques Martin au début des années 50 dans « La Grande Menace ».
Trois ans après la parution de ce premier opus, Jacques Martin mettait en chantier l’aventure qui devait prendre la suite de cet album.
Mais engagé par Hergé pour le seconder dans son travail, Jacques Martin avait entamé une histoire qu’il abandonna assez rapidement pour se consacrer ensuite à un autre projet qui deviendra « L’Ouragan de Feu ».
L’histoire inachevée fut oubliée dans un tiroir pendant un demi-siècle … Jusqu’à la redécouverte, courant 2000, d’une planche complète encrée (la planche 2) et de quelques planches crayonnées (les planches 4, 5 et 6) de cette ébauche d’album abandonné.
C’est ceux-ci qui ont relancé l’aventure.
Ce dessin est celui qui a été présenté à Frédérique et Bruno Martin (enfants et ayant droit de Jacques Martin) et aux éditions Casterman.
Ces derniers devant prendre une décision au sujet du dessinateur qui assumerait le dessin de cette aventure abandonnée.
Le défi étant à inventer et construire une histoire qui se serait déroulée entre « La Grande Menace » et « L’Ouragan de Feu ».
Avec toutes les obligations (dessins, époque, ambiance, forme des planches, …) pour se rapprocher le plus possible du tome 1.
C’est donc en 2006 qu’André Taymans termine, pour les éditions Casterman, cette aventure inachevée du journaliste Guy Lefranc, datant de 1955.
La sortie de cet album, intitulé Le Maître de l’Atome, a coïncidé avec les soixante ans de carrière de son créateur, Jacques Martin.
Il faut également reconnaître la part très active, qu’ont pris dans ce travail, trois collaborateurs.
Principalement Erwin Drèze pour les décors et sa participation à certains dessins. Thierry Cayman pour son aide aux décors et Bruno Wesel qui, par son coloriage de tout l’album, permet de donner une certaine unité aux différents apports des quatre dessinateurs ayant travaillé sur un scénario de Michel Jacquemart.
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About André Taymans
André Taymans is a Belgian comic strip artist and scriptwriter. An author capable of adapting to a wide range of styles, he is best known for his semi-realistic series Caroline Baldwin.
